L'histoire de Mystic World
Autrefois, il y a de cela très longtemps, une cité prospère évoluait au sud de la montagne. Les habitants vivaient en harmonie avec leur voisin de la montagne. Les forts et fières gryphons. Sans avoir de réel rapport entre eux,[/color] ils étaient courrant de voir un gryphonneau égarer à proximité du village. Les enfants habituer les laissait en paix et les adultes veillaient discrètement à ce que les bambins ne les attaques pas. De même que les jeunes humains approchaient leur terre sans trop de risque.
Seulement la guerres éclata. Les humains allèrent demander aide aux gryphons. Plutôt pacifiques, ils déclarent préférer ne pas se joindre à une querelle qui ne les regardait pas. Le peuple attaquer de front se battit avec force et courage. Même quelques gryphons qui affectionnaient ce peuple alla prêter main forte. L'attaque fût repoussée laissant peu de blesser sur le champs de bataille. La paix revint...
Mais l'homme avide de territoire et de richesse revint mieux préparer. Chevauchant des dragons, corrompu à l'idée de richesse facile, accompagnaient désormais l'armée. Pour s'assurer une victoire total, ils décidèrent de passer par la montagne. Leur surprise à la découverte de la nichée d'un petit groupe de gryphon les déconcerta un moment. Les gryphons, qui les avaient vu approcher, n'avait fait montre d'aucune hostilité à leur égard. Certain avaient fuit pour prévenir les humains de l'arriver prochaine de l'armée et de leur nouveaux allié. L'armée quant à elle décida de demander hospitalité aux gryphons qui acceptèrent. La nuit venue les gryphons qui guettaient les alentours poussèrent des cris strident qui réveillèrent en panique les gryphons. L'armée attaquait de toutes leur forces de possible future adversaire. Les gryphons se battaient pour protéger leurs nourrissons. Les gryphonnes tentaient de les mettre à l'abri en les protégeant de leur corps. La panique rendait la défense inefficace et les rares qui connaissait la guerre n'avaient plus la jeunesse pour les aider.
Katira criait si fort. Trois gryphonneaux se serrais sous elle. La plus petite au centre tremblante, entre sont frère plus âgé et son cousin dont la mère venait de mourir dans le combat, semblait figé dans l'espace. Katira la saisit d'une patte, et la serrant contre son coeur, courut à en perdre halène dans la forêt avec les deux autre gryphonneaux sur les talons. Elles leur dit de ce disperser et de se retrouver dans 4jours a la terre des gryphons. Le premier parti vers une grotte sombre pour si tapir. Le second ne sachant que faire et ou se cacher se fit rapidement tuer sous les yeux horrifier de sa jeune cousine toujours accroché au ventre de sa mère. Les dragons les rattrapaient. Les gryphons avaient beau être également des êtres terrestres leur agilité et vitesse venaient de leur ailes.
Alors qu'elle fuyait une flèche atteignit l'épaule de Katira. Qui sous la douleur échappa la jeune gryphonne et s'écroula. Alors qu'elle se retournait pour faire volte face a l'ennemie le dragon plongea la gueule ouverte sur la pauvre gryphonne qui eu a peine le temps de griffer sont meurtrier. Le gryphonneau écraser par le poids de sa mère et du dragon sentait son souffle filer de façon dangereusement mortel. Heureusement, l'homme qui controlait le dragon ne voyais d'autre proie parti en chasse du gryphonneau qui lui avait échapper. Katira morte sur sa plus jeune enfant avait pu en sauver de façon certaine au moins un... Trop effrayée pour sortir de sous sa mère, la petite gryphonne, qui n'avais que 9 ans, resta la jusqu'à ce que la soif la tire de sa cachette.
Sa mère morte, elle alla dans la direction qui lui semblait être la route de chez elle. Elle y trouva une scène... Qui la laissait muette d'effroi... Le soleil qui déclinait à l'ouest laissait voir des dragons qui patrouillaient encore par endroit. Comme personne ne semblait avoir survécu, elle parti vers la seul autre demeure qu'elle envisageait... La petite cité au pied de la montagne. Elle parti donc en ce sens. Ce cachant à chaque bruit elle mis un temps fou à arriver et trouver un village barbouiller de la même horreur. Des morts jonchaient le sol, les habitations qui avaient brûlé ajoutaient à l'odeur de sang qui flottait.
Alors qu'elle avançait un lynx s'élança sur elle. Détalant de toutes ses maigres forces et pigeant de la peur qui l'accablait de mourir, elle atteint la première bâtisse et grimpa les marches 4 à 4. Dans un sinistre craquement l'escalier lâcha et s'effondra avec le lynx laissant la gryphonne s'agripper désespérément à la rambarde qui peinait visiblement à supporter son poids. Dans un dernier effort, elle se hissa mais s'écroula aussitôt. Le lynx parti contrarier d'avoir perdu un repas facile et la jeune s'endormi d'un sommeil agité. Le lendemain matin, un feu crépitant de fit entendre au premier étage de la bâtisse. Une douce odeur de viande grillée monta vers la cachette de la gryphonne, la réveillant en lui rappelant qu’elle avait une faim de loup. Elle essaya de ne pas écouter son estomac, puis finit par ramper silencieusement vers le bord de la rambarde. De son point de vue, on ne distinguait aucune présence, et aucune odeur humaine ne flottait dans l’air. La faim l’emportant finalement sur l’instinct de la gryphonne, elle descendit tant bien que mal de son abri, et s’avança vers le repas chaud, qu’elle engloutit. Elle retourna ensuite dans sa cachette.
Le manège dura plus d’une semaine, pendant laquelle Rauva ne put jamais déterminer qui lui donnait ainsi de la nourriture et de l’eau. Un matin, alors que la routine reprenait, une plume aux couleurs de feu attendait la gryphonne près du repas. Elle la prit entre ses pattes, et la sentit longuement afin de toujours pouvoir se souvenir de cette odeur. Elle était déterminée à retrouver le gryphon à qui appartenait cette plume. Pour la première fois depuis qu’elle s’était réfugiée à Mystic, elle sortit de la bâtisse dans laquelle elle avait trouvé refuge, et explora la ville. Les corps jonchant les rues avaient disparus, mais on voyait qu’ils avaient été traînés sur le sol. La gryphonne décida de suivre ces traces, et arriva face à une fosse où finissaient de brûler des corps. De l’autre côté, elle vit une silhouette encapuchonnée, le visage caché par un large foulard, qui lui faisait face. Prise de panique, la gryphonne retourna se cacher. Elle ne remarqua pas les longues ailes qui dépassaient des vêtements de la personne qui était devant elle.
La gryphonne s’était réfugiée dans la chapelle du village. Elle serrait contre elle la plume qu’elle avait trouvée, encore certaine qu’elle appartenait à un des membres de sa race. Elle ne se doutait pas que c’est de l’être auquel elle avait fait face qu’elle provenait. Quelques jours plus tard, du bruit se fit entrendre à l’autre bout de la chapelle. La gryphonne, furieuse d’être de nouveau dérangée, décida d’attaquer l’intrus. Son attaque fut cependant de courte durée, car elle était beaucoup plus faible qu’elle ne le pensait. Elle ne vit de sa proie qu’une paire d’ailes aux couleurs du feu.
Puis, le noir.
Elle se réveilla, quelques heures plus tard, avec une couverture de laine par-dessus elle, un feu devant elle. La gryphonne se rendit compte qu’elle était à présent dans une auberge, qui semblait avoir échappé aux flammes. Dos à elle, il y avait la silhouette, portant encore un large foulard qui ne laissait parraître que ses yeux. Des yeux d’humain. Rauva voulut se lever, mais ne put aller bien loin vu ses forces. L’humaine lui tendit un morceau de viande qui venait de finir de cuire. La gryphonne le refusa à plusieurs reprises, mais son adversaire ne perdit jamais patience. Elle finit par lui arracher le morceau des mains, et le mangea goulûment. Une odeur qu’elle connaissait flottait dans la pièce, mais elle ne savait pas exactement d’où elle provenait. Soudainement, la gryphonne vit une plume orangée dépasser de la cape de l’humaine. La même plume que celle qu’elle avait trouvée à sa première cachette. À contrecoeur, la gryphonne décida de laisser sa chance à l’humaine.
Le lendemain, les deux femmes parlèrent peu, s’apprivoisant chacune lentement. C’est au fil du temps qu’elles apprirent à mieux se connaître. Une complicité sans égal finit par s’installer entre elles. La jeune femme que la gryphonne avait rencontrée était en fait une elfe ailée, et était bien différente que ce que les premières impressions de la gryphonne lui avaient dictées. Les deux jeunes femmes veillèrent sur Mystic, ne laissant aucun être humain en approcher. Des rumeurs voulaient que les lieux soient hantés par l’esprit d’un gryphon et d’un ange elfique, et cherchaient à venger le carnage que la guerre leur avait causé, à eux et à leur peuple. Pendant ce temps, les deux amies essayaient de redonner sa beauté d’antan à la ville.
Mar 21 Oct - 0:05
